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vendredi 29 juillet 2011

PROMESSES ET REALISATIONS DE L’UMP : LA PUISSANCE DU NEANT !


PROMESSES ET REALISATIONS DE L’UMP : LA PUISSANCE DU NEANT !

NONPREVU | 25 Juillet, 2011 21:51

PROMESSES ET REALISATIONS DE L’UMP : LA PUISSANCE DU NEANT !

PROMESSES ET REALISATIONS DE L’UMP : LA PUISSANCE DU NEANT !
Monsieur Bernard BROCHAND,
Maire de CANNES ,
Député de la Huitième circonscription des AM,
CANNES le 25/07/11
Je viens de recevoir votre LR en date du 15/07/11 qui me fait part de votre préoccupation concernant mes deux courriers en date du 27/05/11 et 06/06/11 relatifs à la suppression arbitraire et purement politique de mes droits sociaux que vous souhaitez me faire appliquer par vos services sans tarder en me rappelant paradoxalement la loi que vous bafouez en toute impunité depuis 10 ans car je vous interpelle Monsieur le Député Maire de CANNES sur le fait établi judiciairement, que vous avez refusé d’appliquer la décision de réintégration professionnelle en date du 15/05/02 établie par le TA de NICE, mais aussi évincé la loi d’amnistie N°2002-1062 dont je bénéficie et même bafoué intégralement avec l’aide précieuse de la CAA de MARSEILLE qui enlise toute la procédure, la récupération de l’ensemble de mes droits civils et civiques depuis le 17/05/11 afin de recouvrer ma fonction sociale initiale en m’annonçant paradoxalement et illégalement le 26/05/11 que je ne faisais plus partie de la FPT ce qui est un comble dans un Etat de Droit mais pas à CANNES où toutes les décadences et déviations sont désormais devenues possibles !
Cette lettre signée par Monsieur MORIN mais qui aurait pu être signée par Madame FOUGA, Monsieur JOUANJUS ou bien évidemment par un autre serviteur d’ETAT consciencieux et surtout fidèle dans l’illégalité sociale, judiciaire et financière prônée constamment par votre haute autorité politique et morale qui associe le dédain au mépris de l’ensemble des citoyens ; ne précise pas que votre décision de supprimer la couverture sociale minimale versée par le receveur percepteur municipal est totalement illégale car les indemnités maladie justifiées par des arrêts médicaux n’entrent pas dans le cadre des indemnités chômages que vous ne me payez plus depuis des années ; ces décisions probantes signées par Monsieur MORIN sont donc le reflet de son incompétence professionnelle désormais avérée.
Toutes ces sanctions irrationnelles mais totalement prévisibles seront dénoncées à l’ensemble des autorités politiques et déontologiques de ce pays avant les élections de 2012 car le reliquat de mes droits restants n’est pas imputable par la maladie que ce soit dans le secteur public ou privé que vous connaissez si bien car vous avez participé entre autres choses sans succès à l’administration du PSG et de l’AS CANNES reléguée en CFA le 05/07/11 alors que vous l’imaginiez inéluctablement en tête de la ligue 1car tout était possible selon vos vœux pieux prononcés en 2001 mais rien ne l’a été 10 ans plus tard si ce n’est l’éviction politique programmée et proprement scandaleuse de l’opposition sociale qui est de plus en plus nombreuse et hostile à votre style politique archaïque et sans aucun doute féodal.
J’observe bien évidemment qu’avec l’aide précieuse et invraisemblablement constitutionnelle du gouvernement FILLON, des ministres de la Justice successifs et du Président SARKOZY, l’ETAT a usé d’années de procédures judiciaires afin d’empêcher la simple reconnaissance de mes droits de Fonctionnaire Territorial et de Citoyen dans la mise en scène d’une affaire pitoyable dénoncée formellement par de nombreuses associations de lutte contre la Pédocriminalité parce qu’entre autres administrations , le TGI de GRASSE , le TA de NICE et la CAA de Marseille prouvent désormais qu’ils sont aux ordres du Président de la République qui pense vraisemblablement pouvoir utiliser l’affaire DSK pour masquer le scandale de pédophilie et de tourisme sexuel dévoilé et publié par son propre ministre de la culture, Monsieur MITTERAND Frédéric, qui est accueilli par vous , Monsieur BROCHAND, avec toute la condescendance que vous portez systématiquement aux élites politiques ou sociales les plus hasardeuses mais jamais envers les électeurs valeureux et républicains que nous sommes en masse et qui n’hésiteront pas à sanctionner parfois même dans la rue et bientôt par la révolte, la politique effarante du gouvernement actuel mais aussi la vôtre qui cautionnent une situation insensée qui prive de leurs droits élémentaires certaines personnes grâce à la violation récursive d’une somme considérable de lois pénales et administratives dans une indifférence politique qui n’échappera plus à personne et certainement pas à toute l’opposition qui s’en servira de toute évidence prochainement, à cause de vos choix personnels irresponsables et proprement scandaleux, lors des élections nationales primordiales pour l’avenir de la France.
L’UMP portera désormais Historiquement la responsabilité politique de ce problème personnel entre vous et NOUS , les citoyens libres et insoumis à la Politique de la Terreur, car soyez bien conscients que vous ne dirigerez pas éternellement le Pays ou la ville de CANNES ni les institutions qui vous sont dévouées corps et âmes pour le moment.
Veuillez agréer, Monsieur BROCHAND, l’expression de mes sentiments facétieux .
VERDI Patrice
PS : JE DEMANDE UNE ENQUETE PARLEMENTAIRE SUR LES FAITS DELICTUELS EVOQUES.

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vendredi 20 mai 2011

LA PALME D'OR DU COURAGE

LA PALME D’OR DU COURAGE

Avec Les ballets écarlates, Jean-pierre Mocky s’attaque à l’un des sujets les plus douloureux de notre société : la pédophilie.

Si le cinéaste a déjà traité ce thème (Noir Comme Le Souvenir et Le Témoin),il l’aborde ici de manière abrupte et violente. Entre militantisme forcené et dénonciation agressive, Les ballets écarlates s’impose comme le film le plus éprouvant jamais réalisé par Mocky.

Dès les premières minutes, il dévoile ses intentions : des enfants de 7 à 10 ans, réunis dans une belle et immense demeure, se dénudent et rejoignent un salon où les attendent des notables pervers et obscènes. Le ton est donné.

Jean-pierre Mocky filme la scène avec toute la froideur et la cruauté qu’exige un tel sujet. A l’origine du scénario, l’enlèvement de la petite fille d’un journaliste de France Info. Libérée trois jours plus tard, la fillette traumatisée n’a pas prononcé un mot depuis des mois. « La presse s’empare de ces crimes, mais elle parle moins des jeunes victimes de rapt qui reviennent à la maison », explique le réalisateur.

D’où l’intrigue des ballets écarlates. Celle de cette mère qui voit débarquer chez elle un enfant échappé du réseau pédophile et qui décide de faire justice elle-même.
Avec Les Ballets écarlates,Mocky se montre radical et sans compromis.

PS : POUR TOUS CEUX QUI TENTENT DE DETOURNER LA VERITE

LES RESEAUX DE L’HORREUR :
LE FICHIER DE LA HONTE :
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dimanche 19 décembre 2010

La disparition de deux fillettes orchestrée par l’ETAT BELGE !

La Disparition De Deux Fillettes Orchestrée Par L’ETAT BELGE
Posted on : 12/18,2010

La disparition de deux fillettes orchestrée par l’ETAT BELGE
FIONA ET MILLA ANTONINI
SCANDALE D’UNE DISPARITION ORCHESTREE PAR
LA BELGIQUE AU MEPRIS DES LOIS
INTERNATIONALES VOTEES PAR L’UE CONCERNANT
LES DROITS DES ENFANTS
Historique
Tout a commencé le 27 novembre 2006 devant les portes de l’institut, situé à San Benedetto Del Tronto (dans les Marches, en Italie) où étaient placées mes deux petites filles depuis le 07 octobre 2006.  Ce même jour, j’appris très tôt le matin que l'on allait les rapatrier en Belgique.
Je me précipitai dans ma voiture en hurlant d’une façon continue : « non ! non ! non ! »  Cela faisait presque deux mois que l’on ne me permettait pas d’avoir des contacts avec mes petites filles.  Arrivée devant l’institut, par l’horreur de la nouvelle et sans savoir si elles étaient encore à l’intérieur, je me mis à hurler leur prénom : « Fiona, Milla, maman est là ! Maman ne vous a jamais abandonnées ! Fiona, Milla, maman vous aime ! Fiona, Milla…. »
La peur au ventre, je me mis devant la porte, mes bras en l’air tout contre celle-ci pour la bloquer et pour empêcher mes enfants de sortir…  Je pleurais et continuais à crier leur prénom : « Fiona, Milla, où êtes-vous, mes chéries ? »
Je pensais qu’on les avait déjà emportées…
Des personnes s’approchèrent et se mirent autour de moi, sans comprendre ce que je disais puisque je m’exprimais en français mais le langage du cœur est universel et les gens comprirent ma détresse.
Sans penser qu’il y avait une autre issue à l’institut, nous restions tous là devant cette porte qui me semblait immense comme une montagne.  Mais quelqu’un se mit à hurler : « ils emportent les enfants de ce côté ci !! »
Je me mis à courir ; les gens me suivèrent… En tombant, les personnes me dépassèrent et bloquèrent les agents de police. Je me relevai et me mis à courir  vers mes enfants… Je pris Milla dans mes bras.  Je sentis d’autres mains qui voulaient me l’arracher mais je la serrai tout contre moi et je lui dis : « Milla, maman est là ! Maman est là ! » Soudain, une force supérieure à la mienne emporta ma petite Milla et l’emmena non pas vers la voiture destinée au départ de mes enfants mais je vis cette personne courir vers l’institut.  Alors, je pris par la main Fiona qui pleurait à sanglots en hurlant qu’elle  ne voulait pas partir.  Je vois encore son regard… Elle était terrorisée et me serrait très fort.  Nous nous sommes mises à courir également vers l’institut.  Je restai un court moment avec mes enfants afin de les rassurer en leur disant que tout allait bien et qu’elles ne partiraient pas en Belgique.   Des heures et des heures de discussions avec le personnel des services sociaux et des forces de l’ordre afin d’expliquer le danger que mes enfants encouraient si elles repartaient vers leur pays d’origine.
J’étais épuisée mais une force en moi me disait de prier, prier….  Je m’appuya contre cette porte, et, devant tous ces gens qui voulaient emporter mes anges en enfer, je me mis à prier à voix haute, en suppliant la Sainte Vierge de nous aider.
J’ouvris la porte de l’Institut et là, je vis le Miracle… le Miracle de l’amour, le Miracle de la solidarité pour sauver l’amour….
Il y avait environ une centaine de personnes, venues de toute part ; des journalistes, des caméras partout ; des draps sur les fenêtres : « Laissez-les dans l’institut où elles sont protégées ! » ; «Nous sommes des mamans ; ce sont nos enfants ! Ne les touchez pas ! » ; « Celui qui peut faire le bien et qui ne le fait pas ; celui-là commet un péché ! »…
Et le comité spontané des « mamans courageuses » prit naissance ce jour-là !
On l’appela « Infanzia Ferita », ce qui signifie « Enfance Blessée ».
Le 19 mai 2007, lors d’une promenade avec tous les enfants de l’institut, mes enfants furent arrachées à leur groupe et rapatriées en Belgique, sans même que je sois avertie de leur départ.  Depuis ce jour, je n’ai plus de nouvelle de mes deux petites filles.  La Belgique reste hermétique à toutes mes sollicitations afin d’avoir un contact (même téléphonique) avec elles.  Je ne sais pas où elles sont ni comment elles vont. Rien ! Le vide ! L’absence d’humanité et la négation la plus totale des lois internationales sur les droits de mes enfants par les instances judiciaires de Mons (Belgique) vont à l’encontre de l’intérêt et de la protection  de celles-ci.
Maria-Pia Maoloni 15 décembre, 20:25
Monsieur Verdi,
Mes enfants et moi avons besoin d'aide! Cela fait plus de quatre ans que mes petites filles se trouvent ILLEGALEMENT en Belgique et confiées par les autorités belges à leurs bourreaux pédophiles et proxénètes, père et grand-père paternel!!! Comment pourriez-vous nous aider ? J'ai soulevé tant de montagnes et sacrifié ma vie pour mes deux anges, mais ... ils sont trop puissants!
Je vous remercie pour l'intérêt que vous nous portez.
Bien à vous,
Maoloni Maria-Pia
Patrice Verdi 16 décembre, 16:49
Madame, celui qui détient le pouvoir d'informer , détient tous les pouvoirs.
Soyez certaine que la somme d'actions que je fais publiquement ou non sert vos intérêts et celui de vos enfants.
Je n'ai pas pour habitude de lâcher prise.
Je ne vous abandonnerai pas.
Soyez Forte.
Pour vaincre, il faut OSER.
J'oserai pour vous et vos deux enfants, sans fléchir.
Je vous embrasse, fraternellement.
A bientôt.
Patrice VERDI
Maria-Pia Maoloni 16 décembre, 20:26
Je vous remercie du fond du coeur! Vous représentez, à mes yeux, l'espoir que l'HUMANITE peut encore être sauvée par des personnes, comme vous, ayant votre courage et votre détermination; et qui ne courbe pas l'échine ou ne ferme les yeux face à l'ignominie que l'on fait subir à mes deux enfants et à toutes les autres petites victimes innocentes qui se trouvent entre les mains de ces monstres! A bientôt,
Maria-Pia Maoloni

AVIS DE RECHERCHE


Naissance/birth/nacita

Fiona : 29/04/1999
Milla : 14/06/2003
Kidnapping: 19/05/2007 
Destination: Belgique-Mons
Fiona et Milla ont été enlevées aux âges de 4 et 8 ans en Italie, le 19 mai 2007. Depuis, leur mère, Maria-Pia Maoloni, reste sans nouvelle d'elles.

Elles pourraient être avec leur père ou leur grand-père, Rocco et Roberto Antonini, qui doivent répondre de viols sur mineurs, en Belgique et en Italie.

DISPARITION DE FIONA ANTONINI (11 ANS)ET DE MILLA ANTONINI (7 ANS)

LEUR MAMAN, MAOLONI MARIA-PIA, QUI VIT EN ITALIE N’A PLUS DE NOUVELLES DE SES DEUX ENFANTS DEPUIS LE 19 MAI 2007 !
LES DEUX SŒURS ONT ETE ENLEVEES, SEQUESTREES ET VIOLEES PAR LE PERE (ANTONINI ROCCO) ET LE GRAND-PERE (ANTONINI ROBERTO)
UNE INSTRUCTION POUR VIOLS SUR MINEURS EST OUVERTE
EN ITALIE CONTRE CES DEUX INDIVIDUS.
MAIS LES DEUX ENFANTS RESTENT INTROUVABLES !!!
Contacter la maman: 
mariapia@live.fr
MAOLONI MARIA-PIA
Via Ettore Maiorana, 2
63013 GROTTAMMARE (AP)
ITALIA

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